Quelle blague. Trois mois pour arriver à ça. Je ne vous raconte pas les histoires internes pour décider si oui ou non Têtu devait parler de mes (DEUX) bouquins. En tant que fondateur du magazine, celui qui a extorqué à Loïc Prigent le nom même de "Têtu", ça me fait rigoler. Je SAVAIS que ça tournerait à une non-critique (car c’est ça, "on" demande à n’importe qui d’écrire un papier qui, finalement, accuse réception, mais ne veut rien dire). Il y a un débat, les chaînes de télé en parlent, mais Têtu réfute toute réflexion. C’est cool pour un canard qui est "révolutionnaire" selon certains.