de Joe Cage (Titan, 2004)

Cast : Joey Russo, Fyerfli, Diago de la Hoya, Ricky, Troy Banner, Marc Sterling, Tyler Boots, Todd Maxwell, Sebastian Tauza, Toby Tyler, Tim Tucker, Randy Eliot, Joe Sarge

Un ami FB m’a récemment dit que ce film était un de ses trois préférés de tous les temps et ça me donne envie de le chroniquer car je crois que cet ami a un point là-dessus. Parmi les nombreux films de Joe Cage de Titan, il y a souvent la même idée sur les rednecks et les prolos des coins paumés des USA. C’est ce qui rend ces films si reconnaissables dès la première image, mais il y a deux trucs qui sont assez uniques chez Joe Cage : le mélange des acteurs d’abord. Il y a toujours des kids avec des vieux, ou des mecs qui sortent des cordes du casting porno gay, ou alors carrément, il prend des mecs hyper connus et les met dans un nouveau contexte et c’est comme s’il les réinventait. Comme dans le cinéma quoi. Ensuite, il y a souvent des délires sexuels très basiques, des branlettes, des trucs old school, et même si ce film date déjà de 2004, il y a plein de gays qui sont dans ces fantasmes encore et ça fait chaud au cœur.

Ce film se passe donc à Barstaw, un coin paumé de Californie qui est un carrefour de routes et de trains. Dès la première scène, on est contents. Fyerfli, mon acteur préféré du film, un mec basique avec un goatee et un T-shirt blanc est en train de se branler quand débarque le grand Tyler Boots avec un œil au beurre noir. Ils se mettent à se branler en regardant une revue porno, Fyerlfli se met à sucer Tyler et ils jouissent en se branlant. Round 1. Ensuite Tyler encule Fyerfly et il y a assez de gros plans merveilleux ici pour remplir un album de Flicr. Fyerfli encule l’autre, puis s’assoit, c’est vraiment une très bonne scène d’intro. Motherfuckers.

Troy Banner se branle sur son lit et Marc Sterling le regarde. Et là on est vraiment dans la particularité Joe Cage, ils se mettent tous les deux dans ce lit à une place, sortent du lube (Pjur of course) et se branlent et on passe à une autre scène pour faire tenir le suspense. Joey Russo trouve Sebastian Tauza dans les chiottes d’une station service, se barre, mais Diego de la Hoya, le patron de la station, débarque pour changer une lampe qui marche plus très bien. Et là on découvre que les chottes ont un autre squatter, Todd Maxwell, torse nul, bien foutu comme un mur de briques. À ce stade, je sais que je n’aurais plus assez de place sur cette page pour mettre le nombre suffisant de captures d’écran, Joe Cage filme tellement bien qu’il y a des gros plans partout. Blow-jobs parfaits, ce sont des pros old school. Ils jouissent puis Todd les encule tous les deux et je coupe vite la description parce que hein, don’t spoil it ahah, c’est le cas de le dire.

On retrouve Troy Banner et Marc Sterling et ils ont décidé de passer à la pé-né-tra-tion et Troy jouit sur sur Matt. Et c’est là où on arrive à la scène centrale, dans une sorte de living en bois pas très bien éclairé où se trouvent 4 générations de pédés, du plus jeune, un kid métis Ricky, vraiment beau, un bear, Randy Eliott, un daddy Joe Sarge, Troy Banner, Matt Sterling, Tobey Tyler et Joey Russo qui, il faut le appeler, n’a pas encore baisé depuis le début du film. Ils sont combien dans c’te barraque ? 8 au moins avec chacun un look différent et une ambiance lourde mais amicale qui est le vrai truc de signature de Joe Cage. Tous se mettent à se branler peinards et Joe Cage va garder ça en suspens pendant très longtemps avant de passer aux pipes. Le daddy se met à faire des photos, trop content, ça va lui faire des souvenirs.

Ensuite l’action s’éclate un peu, y’en a qui vont juste à côté pour un glory hole, les kids se branlent sur le sofa et jouissent (bien) !, un nouveau mec arrive, c’est Tim Tucker, il y a des godes qui sortent d’on ne sait pas où, et à partir de là ça s’accélère et ça va dans tous les sens avec je sais pas combien de positions sexuelles cumullées, more glory holes, les premières enculades avec Joey Russo qui fait son cinéma en s’assoyant sur Tim, et on sait que quand Joey jouit, son sperme traverse la frontière de l’état de Californie. Et le bear qui s’avère un des meilleurs tops du film et Joey Russo qui jouit encore une fois comme un jet d’eau détraqué. man, vivre avec un mec pareil, c’est nettoyer la chambre EVERY DAY ! Il en met partout ! D’ailleurs tout le monde se met à jouir mais Joey en veut encore ! Moi j’arrête de faire des captures d’écran parce que trop c’est dégoûtant hein.

Ah oui, il n’y a pas de Bonus Cumshots sur ce DVD (étrange) mais une scène de plus qui est le prolongement de la scène précédente. More blow-jobs, more branlette avec un étui en plastoc, more daddies, more sexe intergénérationnel, y’a de quoi faire un livre sur ce film.

SAFE