Porno Boners
de Chris Ward (Raging Stallion, 2007)
Cast : Huessein, Tamas Eszterhazy, Matthieu Paris, Marcos Pirelli, JD Kollin, Justin Christopher, Dominic Pacifico, François Sagat, Rafael Alencar, Derrick Hanson, Joey Russo
Pour moi, ce film est celui où Huessein est pratiquement le plus beau de sa courte carrière chez RG, donc je me moque complètement de la première scène avec Derrick Hanson et Joey Russo, un mec habitué de Titan qui est connu pour ses orgasmes... expressifs. En fait, pour arriver à ma scène préférée, il y a plusieurs moments pas trop mal, comme un solo de Marcos Pirelli, ensuite un duo entre Dominic Pacifo et Justin Christopher, toujours quelque chose d’efficace quand on connaît la régularité de de dernier. Puis un solo de Sagat, ce qui donne automatiquement somme added value au DVD parce que Sagat sait y faire, même s’il a toujours autant l’air de se faire chier. Puis il y a une scène de lutte entre JD Kollin et Tamas Eszterhazy (un nom basque à coucher dohors quand on fait du porno moi je dis). Et enfin un solo superbe de Rafael Alencar, une occasion très rare de voir le mec s’occuper de lui-même car en général, ce sont plutôt les autres qui prennent leur pied. Ce solo serait déjà mon sommet du DVD s’il n’y avait pas le tsunami qui suit. Alencar est allongé, sur un divan blanc (as they are) et c’est super bien quoi.
Retour à la ligne. En général, je trouve un peu ringard le coup de la douche dans le porno, mais là je suis très content : on est à l’extérieur, Huessein prend le frais sous un rideau d’eau éclairé par le soleil, il bande déjà comme un turc (qu’il est) et sa barbe est longue, ainsi que ses cheveux. Il y a des graminées qui lui caressent les cuisses, je dirais des miscanthus, ça dure 3 minutes 30 de complet worship humide, il est beau de A à Z, pas un seul plan où il ne soit pas le dieu antique qu’il représente désormais dans l’imaginaire porno. Je l’ai déjà dit, ce mec c’est les "Contes et Légendes de Babylone et de Perse" à lui tout seul.
On enchaîne tout de suite sur ce qui se passe dans la piscine à côté de la douche. Huessein rejoint Eszterhazy et Matthieu Paris, un des gros veinards français qui a eu la chance de baiser (plusieurs fois) avec Huessein. On est dans une lumière de fin d’aprem dans une piscine simple à gros blocs de pierre, un jardin méditerranéen. Huessein se fait sucer par les deux autres, puis Matthieu encule (bien en plus) Eszterhazy et Huessein entre dans l’action en enculant les deux, à la suite.
C’est un des plus beaux films avec Huessein car on le voit bien, ses abdos brillent sous les rayons du soleil qui deviennent obliques, Tamas jouit et Huessein aussi. On croit que la scène est finie, but no. Ça recommence avec Huessein qui baise Matthieu Paris sur le coin de la piscine, il y a plein de pennisetum en bordure, les cheveux d’Huessein sont désormais secs et bouclés, Chris Ward nous le montre en contre-plongée, avec tout ce corps musclé qui plonge dans l’anus mou de Paris ("it’s like butter" comme dit Madonna) et le film est une merveille. You gotta have this.