Porno Giants, Part Two

Giants Part Two
de Chris Ward et Steve Cruz (Raging Stalion 2011)

Cast : D.O., Aybars, Damien Crosse, Logan McCree, Tommy Defendi, Francesco D’Macho, Rusty Stevens, Donny Wright, Angelo Marconi

Cela fait longtemps que je n’ai rien publié sur le porno ou sur mon blog, mais j’ai passé l’été à écrire et à un moment je me suis laisser croire que je pourrais poursuivre ces chroniques en plus du travail de Minorités mais c’était ridicule. Le porno n’a pas d’urgence. Donc je reprends les DVDS dans l’ordre de réception et même si certains datent de plusieurs mois et que beaucoup d’autres sont sortis depuis, c’est le meilleur moyen de s’y remettre.

"Giants Part One" était un de ces gros budgets de Raging Stallion, le seul studio, finalement, à produire des grandes sagas sur plusieurs DVDs (voire 5 d’un coup). Il n’y a rien à dire sur la domination de plus en plus réelle du porno amateur et de son érotisme, mais quand on voit des films comme "Giants", c’est comme si on allait au cinéma. Je vous rappelle que ça se passe dans les vignobles de Californie, tout est tourné en extérieur ou presque pendant la journée, il y a du soleil et de la lumière partout. Le ciel est si bleu que c’est un élément érotique en soi. Amoureux de CitéBeur, vous allez être éblouis, il n’y a pas de caves ici.

Le premier duo est un killer avec D.O. qui suce tout de suite LoganMcCree, allongé. Il faut imaginer, si vous le voulez, cette mégastar brun barbu à cheveux longs en train de sucer Logan tout en jouant avec son anus pour y mettre le pouce. D.O. n’a pas besoin d’insister, il est calme, détendu, il fait son truc, he’s taking charge. Il y a un 69 de grand maître, pas ces trucs cheapos que fait Michael Lucas dans sa verson "orientale". Logan est tout rouge d’excitation et voilà, bingo, premier orgasme.

OK, c’est fini.

Nan je rigole. Logan va sucer D.O like he should, on est dans une chambre complètement make believe avec des murs bleu ciel et des fenêtre blanches, CitéBeur fans je vous avais prévenu, ça va vous faire mal aux yeux. Et D.O. bande dur, comme toujours. À un moment, vous réalisez que vous n’avez pas touché la télécommande depuis le début du film, vous l’avez carrément oubliée, pas besoin d’avance rapide, vous êtes collé çà l’écran avec la peau du visage contre le verre comme si ça sortait du congélateur. Logan s’assoit sur D.O. et il est vraiment très bon pour ça. En fait, Logan est devenu comme un Alex Collack, un de ces mecs qui ont une telle connaissance du sexe désormais qu’ils réussissent tout. Et deux supers orgasmes, D.O. en met partout, mais c’est safe comme tout le reste du film d’ailleurs.

La scène suivante est maline. Damien Crosse est le bottom ici, face à ce super cute Donny Wright et Tony Defendi que tout le monde adore parce qu’il est beaucoup plus beau sur les photos que les autres acteurs. Crosse est toujours aussi parfait, c’est un homme parfait même s’il commence à glisser moralement très vers le bareback dans ses films récents. Il a la gueule, la stamina, le reste, et les poils en V sur les pecs. La scène commence vraiment quand il s’assoit sur Donny Wright allongé sur la table d’une terrasse. Defendi est à côté et va finir par branler et sucer Damien. On est là face à 3 acteurs avec un look légèrement différent, chacun ayant sa niche particulière, une idée de casting très raffinée, très pointue. Et les deux autres se relaient sur Damien qui prend après sa revanche sur Defendi qui ne bande pas comme il devrait - et ce n’est pas la première fois que ça lui arrive. Mais ça marche, no problemo.

On est au moment des vendanges dans le film aussi et D’Macho se retrouve au milieu des raisins avec Rusty Stevens. Clone encounter or what. Personnellement, j’aurais casté Dusty en top car il est tellement mieux dans ce rôle, mais comme la versatilité est une règle désormais, il se fait enculer par D’Macho qui n’est jamais convaincant en actif. Super beaux orgasmes quand même avec Francesco qui produit une ligne de sperme en biais sur les pecs poilus de Stevens, un délire de folle graphiste.

Les deux scènes d’après sont bien, mais on comprend vite que le deuxième volume de "Giants" n’est pas au niveau du premier. Aybars s’occupe d’Angelo Marconi et on se dit "ça va chauffer". C’est le Turc qui rencontre le latino. D’abord, Aybars ne suce pas, ce qui est un peu, remboursez quoi. Ensuite, c’est bandant, y’a aucun doute, mais il manque un je ne sais quoi d’excitation mutuelle qui était si évident dans la première scène.

La dernière du film est une scène de remplissage avec encore D’Macho (heu, il n’y avait que lui en ville ce jour-là ou quoi ?) et David V. Là encore, ce n’est pas qu’elle ne soit pas bien, c’est qu’on s’attendait à un big bang pour finir et ce n’est pas un big bang. D’Macho suce très bien, les plans en contre plongée sont bien cadrés, mais D’Macho n’est pas capable de remplir à lui seul une scène, il lui faut un partenaire plus... directif.
Bref, très bon DVD surtout pour les deux premières scènes.

SAFE

Photos

Logan McCree looking better

Logan McCree looking better

And better.

And better.

D.O. getting serviced

D.O. getting serviced

D.O. gasping for air

D.O. gasping for air

Iconic Damien crosse

Iconic Damien crosse

Donny Wright is fab

Donny Wright is fab

Rusty Stevens had it

Rusty Stevens had it

Aybars’ deep moments

Aybars’ deep moments

Angelo Marconi

Angelo Marconi