Porno Head Hunters Two
de Steven Scarborough (Hot House, 2009)
Cast : Blu Kennedy, Trevor Knight, Paul Wagner, Ross Hurston, Andrew Justice, CJ Madison, Derrek Diamond.
Woaou, Blu Kennedy est de retour. Troisième film chez Hot House à la suite, on espérait que ce serait un revival de carrière - et on l’a. Dans ce film qui fait suite au premier volume, qui faisait déjà hommage au studio Men At Play, Blu porte un costard. Puisque toutes les scènes se passent au bureau, dans le "monde du travail" selon Steven Scarborough.
Ce dernier commence le DVD selon ses principes, c’est-à-dire avec une des meilleures scènes du film. Super bonne idée de marier Blu Kennedy à Trevor Knight, qu’on ne peut pas s’empêcher de trouver qu’on ne le voit pas assez, surtout depuis la prouesse de "Justice". En plus Trevor commence à prendre un peu de bide, faut se presser, mais bon.
Cette scène est brûlante, un peu comme la chemise écarlate que porte Trevor, avec une cravate blanche à rayures noires et grises. c’est déjà intenable au moment des blow-jobs. Blu est excité, à sa manière, comme Logan McCree, d’une manière sentimentale. Cette histoire de costume de travail, ça va vraiment bien à son côté clean cut red haired dude. Trevor, lui, a la bite qu’on connaît. Il a toujours cette manière de chevaucher ses partenaires avec une furie intérieure. Quand Blu s’assoit sur cette bite, coment dire, c’est comme si le film pouvait s’arrêter là. La lumière est parfaite, ça se passe dans un bureau tout blanc, on voit tout avec une image plate. Deux stars à la peau blanche dans un décor complètement blanc. Orgasmes parfaits. Quality shit.
Deuxième scène pas très intéressante pour moi avec Ross Hurston, une signature exclusive Hot House qu’on commence à voir vraiment trop. Il est carrément en ouverture de générique, arrêtez ! OK cette folle anglaise est vraiment très efficace, versatile et tout, bon showman et reliable. Et même en duo avec la petite star montante, le très boring Derrek Diamond (avec 2 R) qui est très efficace aussi, je suis obligé de sauter les chapitres.
La troisième scène est bien mieux. CJ Madison est surpris en train de se branler dans son bureau par son boss, le génial Paul Wagner. Fact fans : mon ami Médéric m’a dit sur FB qu’il s’appelait Barry avant chez seancody.com, et c’est effectivementlui, la barbe en moins. Hot House a décroché le gros lot avec ce mec. Il est vraiment très baraqué, pas très grand, avec des poils et une baby fat qui me fait penser à ce grand héros des années 80 Ken Riker. Sa bite n’a rien à voir, mais c’est l’exemple type de l’anglo saxon blond poilu très bien foutu à peau très blanche. Il est beau de partout ! Même quand il se fait bouffer le cul, c’est joli à reggarder - parce que souvent, quand même, dans les films, c’est fait pour faire durer longtemps, on rempli des minutes avec ça quoi. En face de lui, le très expert CJ Madison. C’est quand il se fait prendre qu’on prend vraiment la mesure de l’épaisseur du corps de Paul Wagner. Allongé sur la table du bureau, il prend toute la place. Ce qu’on peut appeller une armoire à glace. Il produit un jet qui lui passe au dessus de l’épaule.
Dernière scène avec andrew Justice et Vince Ferelli, un mec que Hot House place dès qu’ils ont un moment libre. Là aussi, c’est pas complètement mon type de mecs mais bon. Il y a plein de gens qui aiment Andrew Justice, un grand type avec un goatee, une bite désormais célèbre et un corps fin, avec une ligne de poils qui est juste ce qu’il faut pour ceux qui n’en aiment pas trop. Le mec est très équilibré. Ferrelli est un bodybuilder qui s’oublie un peu, genre le mec de Colt qui devient flemmard, barbe courte et un jenesaisquoi latino. Andrew se démène sur lui, sans changer de pose, il le lâche pas. Après il lui casse le dos.
La musique du film est géniale. Le générique de fin est mixé avec des sonnettes de téléphones et des sons de fax. Il y a juste un truc chiant avec ce film, c’est que les gros plans sont en fait très rares, donc les images que je produis ici ne font pas honneur à la qualité du produit.
SAFE