Porno Justice

de Steven Scarborough (Hot House, 2006)

Cast : Shane Rollins, Trevor Knight, Tony Micelli, Kent North, Nick Piston, Robert Van Damme, Mike Roberts, Carlos Morales, Brad Star, Marc Williams, Ty Hudson, Nick Horn, Duke Michaels, Jordan Vaughn.

Sur deux DVDs, sept scènes, 16 acteurs, c’est ce qu’on appelle un Must Have. Avec la scène d’ouverture de « The Missing », « Justice » est un des meilleurs Hot House de tous les temps, un film qui dépasse les qualificatifs. Trevor Knight a gagné un prix pour la renversante éjac dans son duo avec Shane Rollins (15 jets, un truc de dingue) et tout ce film est tellement bien filmé que ça fait mal aux rétines. Il n’y a vraiment que Hot House pour parvenir à un tel contraste. On dirait du BluRay avant le BluRay.

Le film entier est un hommage à Shane Rollins, un des plus efficaces acteurs de sa génération. Il faut remonter à Blake Harper (l’ancien mari de Colton Ford) pour trouver un mec qui est aussi efficace dans toutes les positions, dans tous les rôles. C’est un mec affamé, capable de baiser mecs et nanas sans vraiment montrer que c’est son job et son gagne pain. Dans ce film, il n’a jamais été aussi beau. Enfin, on n’a pas fait la connerie de raser les poils de ses pecs, il porte un goatee de quelques jours et ses bras ne sont pas épilés. Comme dans « Ram Tough » (de Hot House aussi), son système pileux est à son sommet, le genre de truc dont on fait des dessins, le genre d’anatomie qui inspirait Tom of Finland.

L’histroire du film est simple, mais il y a beaucoup de dialogues qui font pas mal de gags dans le bonus « Behind The Scenes ». Shane Rollins est un petit punk qui est envoyé en taule car on croit qu’il a dealé (c’est pas lui en fait, mais Trevor Knight). Il passe donc par tous les states d’initiation carcérale (brrr, not very original, mais je répète : c’est bien filmé donc ça veut dire qu’ici, une cellule a de la gueule, la preuve, elles font en général 150m2 de surface pour 3 prisonniers). Scène 1, Shane est maltraité par les Hot House Exclusives Tony Mecelli et Robert Van Damme. Dans un film normal, ce serait déjà une scène centrale. Ensuite il subit le même traitement de la part de Nick Piston, Brad Star et Jordan Vaughn. Shane jouit très fort. Troisième scène, il doit supplier son cas auprès de Ty Hudson qui suce Shane, puis le fait jouir en lui bouffant le cul. Troisième orgasme de Shane, super, il a ravivé tous nos complexes existenticiels. Quatrième scène, Shane se repose pendant que Carlos Morales, Kent North et Nick Horn se font les trucs qu’on fait quand on s’appelle Carlos, Kent et Nick. Find du disc 1.

Dans un twist assez malin, Steven Scarborough a gardé le meilleur pour la fin. D’abord le duo Shane / Trevor dont je parlais plus haut. Shane découvre que le mec qui partage sa cellule est le même qui l’a foutu en prison. Il va se venger ! Il faut dire que les deux portent des uniformes de taulards qui reprennent la couleur vintage de Hot House, l’orange. Scarborough a toujours le chic pour glisser dans ses images un élément de couleur ou un Pantone flashy qui se remarque et qui contribue au contraste de la photographie. Cette scène, c’est un des moments les plus forts du porno de cette dernière décennie. Trevor Knight est un acteur anglais typique : très belle queue, belle gueule, look masculin, incroyable fucker, c’est l’actif parfait, toujours fébrile dans son côté dominateur. Shane porte son tank top qui ne le quitte pas de tout le film et tout de suite, on sent la connection chimique entre les acteurs. Ajoutez à ça que le Mike Roberts, un des plus beaux mecs de la planète, mate l’action derière les barreaux de la cellule, habillé en flic, et vous avez le tiangle parfait. Exhibitionnisme, action, voyeurisme.
Trevor et Shane en sont toujours à se sucer que Mike Roberts jouit entre les barreaux. Je crois que j’aurais pas pu tenir plus longtemps moi-même. Enfin seuls, les deux autres s’y mettent. Shane encule Trevor puis Trevor prend le contrôle doggy style et ensuite, c’est le paradis jusqu’à la fin. Shane finit par s’assoir sur Trevor, ils sont totallement in sycnch. Shane jouit, Trevor enlève la capote, se met à se branler et, sans coupure ni editing, produit cet orgasme d’anthologie : 15 shots.

18 mois plus tard. Le convict Shane Rollins passe devant un jury et demande la relaxe. Il dit : « Je ferai n’importe quoi pour sortir d’ici ». Well he does. Parker Williams (clone célèbre), Duke Michaels (look Circuit parties) et le Black Marc Williams lui passent dessus et c’est une très belle scène de partouze, là aussi, le genre d’action qui courrone un film normal. Marco Paris s’assoit sur qui il peuc, Shane s’assoit sur Duke, puis sur Marc Williams, puis Marco le suit, Shane encule Duke, ad lib.

SAFE

You always go back to the scene with Shane and Trevor Knight, coming with 15 shots of smut. This is a crazy / great action movie, fantastic photography, clear cut lights, all in the name of Shane Rollins, the man everybody wants to fuck. Thank you Hot House for this gem, one of the key moments of modern erotica.

Photos

Hot House

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