Porno Laid Up

de Brian Mills & Harold Cregg (Titan 2000)

Cast : Robert Collins, Michael Vincenzo, Steve Parker, Mark Reed, Billy Knight, Billy Mathews, Tim Turner, Christopher Michaels, Core Andrews, Matt Sizemore

C’est un de mes films préférés de tous les temps, le genre de bombe sexuelle sur laquelle on est content de dépendre car on sait que le film does the trick à chaque fois. Bon, il faut dire que c’est le seul film de Titan qui met à ce point en valeur Robert Collins, pratiquement le plus beau black du porno gay (mais on ne va pas se disputer là-dessus non plus). Robert a beaucoup d’avantages pour lui. Ce film a été tourné en 2000, ce qui veut dire que son corps était à son plus beau niveau. Le mec est une sorte de bodybuilder / mante religieuse, chaque partie de son corps est tellement musclée qu’on dirait qu’elle est séparée du reste. Ses bras sont impressionnants, son torse et ses cuisses sont énormes, sa taille est méga-fine, et tout ça sans une impression de trop en faire, trop sec, trop tout, comme ça se passe chez beaucoup de bodybuilers. Sa bite est totalement ahurissante, toujours dure, d’une pureté graphique totale, c’est un dessin, et Robert a la chance inouïe de posséder un visage qui reflète sa gentillesse, son côté équilibré, sentimental, même mystique (c’est un Verseau). Dans d’autres films de Titan plus hard, plus cuir, on sent qu’il est moins à l’aise que dans ce film. Aujourd’hui, 10 ans après, Robert a vieilli, mais ses photos sur FB montrent un mec assagi, heureux.

L’idée du film se passe dans une clinique donc on a plusieurs fantasmes liés à l’environnement : il y a des outils, mais rien de très SM ou compliqué comme ça se fait dans d’autres films bondage où tout le matos de la boucherie est utilisé pour insérer des trucs insensés dans chaque orifice humain. Le film débute justement avec Matt Sizemore qui joue à ça, mais je saute toujours cette scène car le mec est boring. Ce qui m’intéresse, ce sont les 3 scènes dans lesquelles Robert Collins joue. En tant qu’infirmier (il porte super bien l’uniforme en plus), il baise avec Tim Turner, un mec sympa qui se fait enculer, puis s’assoit sur Robert et jouit car il ne peut plus se retenir plus longtemps. Robert jouit un joli wad, assis sur une chaise, avec l’autre qui lui fait les seins. Magnifique.

Ensuite Robert passe dans une autre chambre où l’attend un autre « patient », Mark Reed, un mec pas mal qui est clairement séropo et lypodistrophé, mais cette scène est le deuxième sommet du film. Robert encule Mark et c’est tellement beau qu’à un moment, on voit son visage de profil et on dirait presque une photo du champion athlétique Ben Johnson. Il est butch à ce point.

Troisième scène avec Michael Vincenzo qui surprend deux infirmiers en train de baiser dans une remise, Billy Knight et Christopher Michaels. Beaucoup de blow jobs jusqu’à ce que Vincenzo se branle et jouisse deux fois à la suite, coup sur coup. Très peu d’acteurs font ça. Ensuite il encule ses deux partenaires, jouit une troisième fois, puis une quatrième fois à la suite et en fin de scène une 5ème fois pour la route. Le mec est dément.

J’aime beaucoup la dernière scène aussi, et c’est surprenant. Je crois que ça doit être un des rares moments où je vois un mec se mettre une sonde dans l’urètre et c’est sexy. Il faut dire que c’est un clone pas très connu, Steve Parker, qui a le parfait corps de clone West Coast : bien foutu sans être bodybuildé, des pecs et un ventre poilu doré par le soleil, on en mangerait. Il fait ça avec un médecin qui s’appelle Billy Mathews. Malheureusement, je n’ai pas de photo de ce Steve Parker à vous montrer car Il n’y a pas de gros plan, mais il y a une troisième scène avec Robert Collins dans les bonus où on le voit se faire sucer par Mark Reed. Et c’est joli quoi, même s’il n’y a pas d’orgasme. Dix ans après, un film qui résiste au temps, une valeur sûre pour ceux qui aiment les blacks.

SAFE

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