Porno Match Maker

de Jorg Andreas (Cazzo, 2006)

Cast : Fred Faurtin, Benjamin Starck, Alberto De Palma, Demetrius, Elias Sharif, Isaac, Jack Van Dean, SY.B, Tamas Eszterhazy

Cazzo dans toute sa grandeur, sans les délires de montage aché de certains films pour faire arty ou hardcore ou parce qu’il faut "expérmenter". "Match Maker" aurait dû s’appeler "Bazooka" parce que c’est ce qu’on cherche parfois. Ce disque est un classique car l’intrigue ne déborde pas sur l’action comme cela se fait chez Cazzo avec des mises en scènes absolument pas nécessaires et finalement cheap. Ici, ce n’est que de l’action avec des acteurs tous renversants.

Ce qui en fait surtout un classique, un objet pivotal du milieu des années 2000, ce sont les deux scènes avec Isaac, un mec qui pourrait être turc qui pourrait être la réponse à Huessein, dans un syle plus stylé, plus académiquement beau, mais je ne sais même pas s’il est turc ou quoi et avec un nom pareil... Cet acteur n’a travaillé, à ma connaissance, que pour Cazzo donc c’est une découverte pratiquement exclusive. Isaac apparaît comme une représentation minoritaire à l’intérieur des films pornos allemands et il y a pas mal de mecs comme ça chez Cazzo, ce qui est très intéressant au niveau de l’intégration. Huessein et Isaac sont des mecs de deuxième génération, hypra-masculins, musclés et poilus, très moyen-orient comme on peut en rêver quoi, mais ce qui les met très à part, c’est que ce sont des gays totalement intégrés et très très gays dans leur manière de baiser. C’est pas "pose toi là tu vas prendre cher", c’est "je sais tout ce qu’il faut faire pour te faire jouir - et je suis une sex machine au fait". Isaac est un acteur qui vous captive à chaque fois, c’est une surprise de le voir à chaque fois si viril. Il n’y a jamais, comme chez Hussein, une seconde pendant laquelle on les voit faire les folles. Ce sont de vrais jules, gay, complètement gays, et attentionnés. Et arrêtez de me dire que c’est une vision hétéroflic du sexe, il y a encore des gens qui cherchent des mecs virils dans le poro gay, on n’a pas à s’excuser de ça.

Ce film a deux scènes avec Fred Faurtin, à chaque fois vraiment incroyable avec sa peau blanche, ses bras bronzés comme s ’il avait pris un coup de soleil une aprem avec un t-shirt manches courtes, et ce corps complètement lean, fin, sec et tout quoi. La première avec Demitrius et un autre, Martin je crois, c’est pas sûr, les crédits de Cazzo sont toujours mal foutus. Il y a un truc dans ce film, c’est que c’est très anal (oui je sais, c’est drôle). Mais les bites ici, on les voit incroyablement bien entrer et sortir, c’est comme si Cazzo atteignait quelque chose que beaucop d’autres studios américains ne parviennent pas à réussir.

Isaac lui aussi cumule deux scènes, avec Tamas Eszterhazy et Elias Sharif, et dans les deux cas, il est formidable. C’est le genre de mec avec qui le sexe est simple, facile. Il est bandant sous tous les angles. C’est le genre de mec qui se touche encore les têtons, on a l’impression que les acteur ne font plus ça de nos jours (c’est vrai que le film date de 2006). Avec Elias, c’est encore mieux, on voit que le kid est infatué d’Isaac, ils ont une connection parfaite.

Et comme si ça suffisait pas, il y a une dernière scène avec Faurtin et Alberto de Palma avec changements de rôle, fist et tout, et il y a d’autres scènes ausi, ce qui fait de ce film un hit & run monster, avec pas une seule scène molle ou mal foutue. Oui, j’aurais pu commenter ces reviews avec un autre film de Cazzo, j’en ai d’autres, mais je voulais vraiment mettre l’accent sur cet Isaac, car je crois que si je devais vraiment y réfléchir longtemps, il ferait partie de mes 10 acteurs porno préférés of all time - et je n’ai vu qe 2 ou 3 scènes de lui.

SAFE

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