de Steven Scarborough (Hot House, 2009)

Cast : Paul Wagner, Rod Daily, Johnny Gunn, Berke Banks, Vince Ferelli, Kyle King, Dakota Rivers, Beaux Banner

Parmi les films de Hot House de l’année dernière, « Movers N Shakers » est un de mes préférés. Encore une fois, ce n’est pas une superproduction, c’est un film normal, c’est juste que le choix des acteurs est simplement bon. Il y a plusieurs nouveaux aussi qui ont tous quelque chose de différent dans leur physique.

Première scène avec, yes, you fans, Paul Wagner et un nouveau venu, Berne Banks, un mec très excitant car il a un look pas habituel dans le porno gay : le grand mec baraqué nerd. C’est quand il enlève sa chemise que l’on comprend : c’est une baraque. Paul Wagner est génial as always, mais, waitaminit, il ne va pas garder son t-shirt pendant toute la scène, non ? Ben si. On comprend pas car Paul Wagner habillé, c’est un peu du vol, non ? Enfin, il lui va très bien ce t-shirt moulant sauge clair ou serait-ce mousse des bois séchée à manches longues qui lui fait des taches de sueur sous les bras. Ah ça y est, j’ai pigé, c’est une scène de niche sexuelle pour les mecs qui aiment la transpiration sous les bras !!!! Bon, je rigole, très bonne scène.

La seconde est le truc majeur du film. Rod Daily avait fait quelques films pour Falcon mais c’est vraiment Hot House qui en a fait une star l’année dernière. Ce mec est vraiment bandant de partout, très belle bite recourbée, corps pneumatique avec un ventre tendu et un beau tattoo cette fois sur le ventre avec deux mains qui prient et qui disent « Please forgive me ». Un truc étrange à lire quand on lui fait une pipe mais bon. Kyle King, star de Hot House est particulièrement excité ce jour-là, il en veut, c’est une scène parfaite, du début à la fin. Irrésistible.

OK, comme si on était pas assez rétamé, un threesome avec Johnny Gunn et deux nouveaux : Dakota Rivers et Beaux Banner (ces noms ! qui les invente ?). Pour moi, Gunn est bon tout le temps, dans tous les films, c’est un de ces acteurs qui assure dans tous les rôles, actif ou passif, et il est toujours excité, il ne débande jamais. Il est au top de sa forme là.

Dernière scène un peu rigolote avec 2 bodybuilders énormes, Josh Griffin et Vince Ferelli. Je crois que c’est pas des stéroïdes que ces mecs prennent, je crois qu’ils vont directement à l’étable pour s’alimenter. Comment ont-ils fait pour les amener dans la même pièce ? Est-ce que le plancher s’est effondré ? Bon, ça marche d’une manière étrange, mais on n’est pas fier de soi, quoi. Si Carlos Dalton savait que je regarde ça, il se moquerait de moi et il aurait raison. Please don’t tell him.

SAFE

Never seen Rod Daily quite like that before, it’s a revelation. Paul Wagner and Johnny Gunn are irresistible as always. A good solid flick with one to watch for : Berne Banks.