de Brad Austin (Falcon, 2011)

Cast : Parker London, Donny Wright, Cliff Jensen, Jake Austin, Tyler Andrews, Logan Drake, Devon Hunter, Corey Martin

Je ne sais pas pourquoi je trouve Parker London excitant. Enfin si, je sais, il a une gueule de boy next door très caractéristique d’un certain ennui et la banalité de son physique est mise en valeur par un bras entièrement tatoué de dessins qui se prolongent jusque sur les phalanges de ses mains. Sa bite n’est pas grosse mais elle est toujours tendue, il fait beefcake sans être difforme. Bref, c’est un acteur populaire dans un domaine pas prestigieux et cette série de Jocks a longtemps été peu regardée chez moi, jusqu’à ce que je découvre des acteurs vraiment bien. A l’époque, quand Jocks a viré dans les twinkies, ces mecs un peu minets à la Bel Ami, ça m’avait énervé parce que Jocks, avant, était un sous label de Falcon plus masculin. Et puis maintenant je les trouve mieux, peut-être ai-je vieilli sur cet aspect aussi.

Parker est donc en vedette ici car il a trois scènes, donc si vous ne l’aimez pas, ça sert à rien de se fader cette critique de DVD. Pourtant la première scène du film, avec Devon Hunter est pratiquement une entrée en matière si brûlante que le reste du DVD a du mal à suivre. On est dans une gay ressort californienne typique, donc pas mal d’action autour de la piscine (ouaaaaah, originaaal) mais qu’est-ce que vous voulez, c’est un cliché qui marche toujours. Parker se fait sucer et ensuite on le voit en gros plan sucer l’autre, c’est l’image iconique utilisée dans le générique avec une super muzak ambient où l’on voit son visage s’enfoncer sur la bite de Devon et tout de suite après le rimming, Devon s’assoit sur Parker dans un siège en tissu orange, tout ça pour le plaisir chromatique. Man, ce mec sait s’asseoir, il dirige toute la séquence en se tordant sur cette bite et l’autre n’a presque rien à faire, à part lui caresser les tits de temps en temps et cracher dans sa main pour branler Devon qui est si excité qu’il jouit alors que c’est pas fini. Parker l’encule alors doggy style, Devon bande toujours et Parker jouit.

Scène suivante avec ce gros malin de Jake Austin, Cliff Jensen qui est une sorte de grand bébé avec des tatouages tribaux sur les épaules et Logan Drake, un kiki mignon avec une belle bite mais qui n’est pas assez mis en valeur. Je vous la fais courte parce que cette scène aurait pu être meilleure et on se demande si la meilleure image n’est pas celle du début, quand on voit un rappel du même vert qui est sur la moquette extérieure de la terrasse, le tuyau d’arrosage et le Speedo de Logan. Coordination ou quoi ! Jake Austin est sexy quand il se fait sucer, et il y a tous les enchaînement d’un trio normal (on change de partenaire avec les positions) mais rien n’est renversant, il faut attendre l’orgasme de Jake Austin pour arrêter l’avance rapide et se dire, wow. Mais encore une fois, on voit la bite jouir, pas le reste du corps, encore moins le visage alors moi je dis non.

Next, c’est le solo de Parker London, allongé sur une chaise longue au bord de la piscine. Bien filmé, faut aimer ça bien sûr, mais au moins l’orgasme est montré en plan large, ça aurait été parfait si on l’avait vu 30 secondes avant l’orgasme, pour voir la montée venir. Mais il est beau.

La scène d’après est merveilleuse. Donny Wright est un mec beau de tous les côtés, brun avec une jolie coupe de cheveux toute banale, des beaux poils raffinés sur un corps bronzé complet, une belle bite, musclé juste comme il faut. Il se fait sucer en fermant les yeux par Corey Martin qui est vraiment bien lui aussi, un brun à la peau blanche, très beau banal, avec une bite épaisse. Les blow jobs sont bien faits, puis Corey s’assoit sur Donny sur le lit et reste presque sur le gland dans l’anus, on a tip top mode, et l’autre commence à s’échauffer. Très masculin, pas salope comme Devon dans la première scène. Et ça devient encore plus sexy quand Donny encule Corey doggy style, on voit alors qu’il est très fin et que son ventre est recouvert juste d’un duvet de poils noirs. Les orgasmes auraient pu être magnifiques on avait vu le reste du corps parce que donny jouit beaucoup et longtemps.

Dernière scène avec Parker London dans la cuisine et Tyler Andrews, un twinkie un peu folle, châtain clair avec des jambes poilues. Là il y a une fresque sur le mur de la cuisine qui est presque trop coloriée ce qui fait qu’on a tendance à regarder le fond du mur au lieu de regarder la baise mais ça doit être moi qui délire. Pour faire vite parce qu’il est 19H50 et je commence à avoir faim, c’est une très bonne scène avec Parker qui encule d’abord, puis il s’allonge sur le sol et c’est Tyler qui le baise et Parker est excité et donc il jouit comme ça, voilà. Pour moi, ça marche mais pour vous c’est sûrement trop vanille.

SAFE