de Gavin Lowe (Raging Stallion, 2008)

Cast : Marcio Pitbull, Felix Stuhlbach, Gabriel, Vitor, Andre Santos, Carlos Montenegro, Yuri, Andre Gaucho, Thomas, Andiano Redrigues, Adriano Morales

De Gavin Lowe (Raging Stallion, 2008)

Cast : Marcio Pitbull, Felix Stuhlbach, Gabriel, Vitor, Andre Santos, Carlos Montenegro, Yuri, Andre Gaucho, Thomas, Andiano Redrigues, Adriano Morales

Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas chroniqué ce film, enfin si, je sais bien qu’il y en a trop dans la collec et je n’ai pas toujours le temps. Pourtant, à chaque fois que je tombe dessus, je suis épaté de voir les mecs qui jouent et il y en a 3 qui sont totalement infaillibles, si vous voyez ce que je veux dire. Vers 2008, Raging Stallion a commencé à élargir sa palette de film avec des productions étrangères et ce film de Gavin Lowe est dans la partie supérieure du panier des films brésiliens. Il n’y a rien de spécial par rapport aux autres (Alexander Pictures), les mecs sont toujours aussi bien, c’est filmé avec de la lumière et l’image est très bonne. Ce qui change, ce sont souvent un déroulé de l’action qui n’est pas toujours le même (chez Alexander Pictures, on peut chronométrer chaque scène et savoir déjà quelle longueur telle partie va durer, c’est affreusement mécanique, bien que, on n’a pas de surprise ce qui eut être intéressant certains jours, allez savoir). La première scène n’a rien de spécial, deux mecs moyens qui baisent à côté d’une de ces piscines d’intérieur qu’on voit souvent dans ces films brésiliens. Vitor et Andre Santos sont gentils, mais c’est pas ça qu’on attendait.

Le film commence à mériter son titre avec Gabriel, dans la deuxième scène, un black renversant qui prend sa douche et qui parvient à rendre cet exercice archi connu toujours excitant, puis il passe à la chambre et il se branle. Je ne crois pas qu’il y ait 3cm2 du corps de ce mec qui ne soit pas brûlant. Son anus est to die for, des jambes poilues, un duvet sur des abdos de merveille, un gros tattoo sur l’épaule intérieure droite, une bite woah ! et le plus beau encore, un visage de dingue avec une barbe de 2 jours et des lèvres si belles qu’on reste baba quand il y a des close-ups. Et même l’orgasme est bien filmé, de trois quart, avec son ventre plat et le dos appuyé sur la têt de lit. Gee whattaman.

Troisième scène géniale avec Marcio pitbull, qu’on a vu plus jeune dans un film d’Eric Moussu je crois, et dans un Alexander aussi, il faut que je vérifie mes sources. Bon, ce mec, on l’a presque vu grandir dans le porno. Avant c’était une gueule d’amour sur un corps parfait, là c’est un vrai homme avec une vraie gueule. Au début on le voit écouter son iPod et il est juste un peu folle mais, tout excité qu’il est, il s’endort et Felix Stuhlbach se réveille en lui faisant une pipe. Rien d’extraordinaire, je vous entend dire. Sauf que Marcio se fait sucer en parlant et en tenant bien la tête de l’autre et déjà ça… Ensuite il s’amuse à déchirer le slip de l’autre et commence à jouer avec un dildo à boule qu’il fait glisser dans le cul de l’autre. Moi souvent, ces trucs je trouve que c’est pas bien filmé mais là, Marcio le fait si bien, il parle doucement, il s’amuse. Ensuite il encule en enchaînant 3 positions. Et quand il jouit, c’est pas bien filmé mais son sperme va loin quand même. Dommage qu’il ne soit pas bien en cover de DVD.

Scène suivante et un solo de Carlos Montenegro, un gros bodybuilder qui est une des stars majeures de Kristen Bjorn. Vous pouvez vous moquer, j’adore ce mec même si là encore il en fait trop dans l’expression faciale, d’ailleurs j’ai pas trouvé de close-up bien de lui à mettre en photo, c’est pour dire. Pourtant il a un visage de gaucho en plus parfait, en fait ce mec a une peau à faire mentir tout ce qu’on dit sur les dommages dermiques des stéroïdes. C’est vraiment le brun latin de qualité supérieure. Là il passe son temps à se mettre un ou deux godes et sa bite est toujours magnifique, y’a pas de raison pour qu’elle rétrécisse. Très bel orgasme où on le voit debout et jouir dans sa main droite qu’il va lécher, ce petit démon.

Ah, ma scène préférée. A chaque fois qu’il y a cet acteur, Yuri, je suis gaga. Je regardais le film l’autre jour et je me disais à moi-même « Ce mec baise comme un russe en fait » et puis après je regarde les crédits et je vois qu’il s’appelle Yuri. Dah. C’est un bodybuilder avec du baby fat, always a plus, et là il a décidé, en plein Brésil, de baiser avec un bonnet de laine Aussie Bum. Ce mec est génial car il est toujours dur et il a une manière de passer d’un visage complètement impassible (russe !) à un plaisir qui se voit soudain sur son visage quand il se fait sucer ou qu’il encule. C’est le mec peinard qui attend qu’Andre Gaucho s’assoie sur lui. Ce dernier est très bien lui aussi, on dirait presque un beur tout poilu, un visage très Cadinot old school. Il faut voir ses pecs quand Yuri jouit dessus, avec tous ses tattoos et tout : very good Partner.

Une autre scène de solo avec alors là vraiment de la testostérone ai kilo avec Adriano Morales, dans un délire très Colt avec un garage et de l’huile sur le corps et un grand dragon en tattoo sur le dos droit. Le mec est une grosse machine de muscle avec des pecs immenses et un orgasme frontal, mais il est trop serré, donc mgrrr.

Et ça se finit avec un duo qui commence aussi sous la douche, avec Thomas, un mec moins latin que les autres avec des tattoos vraiment pas nécessaires mais une belle gueule et des quenottes séparées devant, et Adriano Rodrigues qui est borderline banal mais bien aussi. Ils vont dans la chambre, blow-jobs, il faut noter que dans ce film les tops ne sucent pas, je sais pas, une envie de se conforter dans un cliché latin en qui plus personne ne croit. Pas de pénétration dans cette scène, c’est super rare, mais c’est excitant quand ils jouissent. Ah oui, on sait pas pourquoi la typo du générique est du Peignot ultra bold.

SAFE