Porno XXX

de Steve Cruz & Leif Gobo (Mustang / Falcon, 2009)

Cast : Arpad Miklos, Vinnie D’Angelo, Scott Campbell, Scott Alexander, Race Cooper, Cole Streets, Derek Da Silva, Colby Keller.

Du matos lourd. On a beau se moquer de Steve Cruz, qui en fait toujours un peu trop quand il joue, mais quand il dirige, il est juste pile poil. Ce film a 5 étoiles, non pas parce que c’est un chef d’oeuvre du porno, mais parce qu’il les mérite en procurant à chaque fois beaucoup de plaisir. Il n’y a qu’à se servir. Quatre scènes où, à chaque fois, les mecs sont énormes, jouent bien, prennent leur pied, tout en étant bien filmés. Photographie superfine, on a des stars sur fond noir, tout est en relief, tout brille.

Pas la peine de décrire la scène avec Arpad et ce barbu tout simple, Colby Keller. Arpad est égal à lui-même, in control. Mais ce Colby, c’est un mec juste comme il faut, une bonne gueule, une belle coupe de cheveux, des jolis poils. On dirait un marin ou un breton.

Bien sûr après, pour moi, c’est la fête. Race Cooper et Scott Alexander réalisent une des plus belles scènes de Blacks depuis longtemps, et surtout sur un label majoritairement blanc. Ce qui est bien, c’est qu’il s’agit de deux mecs équilibrés, presque du même calibre physiquement, donc il n’y a même pas le délire du c« ’est moi qui t’encule parce que la mienne est plus grosse ». Versatiles tous les deux, ils changent de positions et c’est comme ça jusqu’à l’orgasme, off & on, on & off.

C’est avec la troisième scène qu’on commence à se dire qu’il y a beaucoup à manger sur la table. Vinnie d’Angelo s’occupe de Cole Streets, un bec assez banal qui a pourtant beaucoup se sexyness en lui, surtout quand il s’assoit sur la bite de Vinnie. Franchement, on est obligé de mettre sur avance rapoide tellement c’est insoutenable.

Et là, bingo, dernière scène, la meilleure, avec Serek Da Silva et ce petit punk poilu de Scott Campbell. Celui-là, on l’a déjà vu dans d’autres films de Mustang, et à chaque fois il crève l’écran. Quand il se fait sucer, on voit ses dents écartées, ses poils sur le ventre et les pecs, on dirait un mec de Cazzo qui se serait perdu chez Mustang. La scène est torride de A à Z, il y a au moins 254 occasions de jouir. Mais le truc c’est d’attendre le dernier moment, quand Campbell jouit, parce que c’est vraiment là qu’il est le plus beau.

SAFE

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